Ils s’appellent Franzeska, Samuel, Vincent, Pauline, Fanny, Pierre, Véronique, Michaël ou encore Emma.
Leur tort ? Avoir refusé d’être inactif face au dérèglement climatique et ses conséquences dramatiques pour l’humanité. S’être opposé·e·s aux politiques qui détruisent la planète et broient les êtres vivants.
Leur crime ? Avoir osé dénoncer par des actions non-violentes le double discours du président Macron. Pour avoir réquisitionné les portraits présidentiels, les activistes risquent 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende.

Suite à une action non-violente #DécrochonsMacron, trois de nos militant-es sont convoqués au tribunal. Nous allons en faire le procès de l’inaction climatique et sociale !
Au programme (détails à venir) :
rassemblement, conférences, formation à l’action non-violente…
Aidez-nous à réaliser cette journée de mobilisation pour le climat et la justice sociale ! Vous pouvez vous inscrire en tant que bénévole et nous vous contacterons !
JE M’INSCRIS EN TANT QUE BÉNÉVOLE

Un grand nombre de militant-es prévoient de venir à Orléans pour participer et soutenir Franzeska, Samuel et Vincent lors du procès . Nous cherchons des places d’hébergement du 11 au 13 /09.
🛏 Vous avez un lit disponible ? Un canapé dans votre salon ? Une tente dans votre jardin⛺️?
Même si vous ne pouvez pas assister à la journée de mobilisation, cela pourrait nous être d’une grande aide.
Pour assurer une mobilisation à la hauteur, imprimer des affiches, faire citer des témoins experts de l’urgence climatique … Nous avons aussi besoin de soutien financier.
Vous avez une idée, question, sollicitation presse ?
Envoyez-nous un message à orleans[arobase]anv-cop21.org.
Parmi les 3 interpelé-e-s pour le décrochage du portrait de Macron à Saint-Jean-de-la-Ruelle et qui sont convoqué-e-s au tribunal le 13 septembre, Franzeska a refusé le prélèvement ADN.
A cause de ce refus, elle a droit à des poursuites supplémentaires et indépendantes :
> – une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité le 12 septembre (on lui proposera une peine)
> – si elle refuse la peine, elle aura un 2e procès en octobre
On a besoin de soutien, d’aide, de relai pour soutenir le courage de Franzeska.
> Prélever l’ADN suite à une action symbolique, non-violente, est disproportionné et viole les droits de la personne (comme l’a confirmé à maintes reprises la Cour Européenne des Droits de l’Homme).