Film suivi par l’intervention du Planning Familial et du Collectif Orléanais pour les Droits des Femmes.
Synopsis du film:
Adaptation d’un roman de Keith Ridgway.
Femme soumise ou meurtrière ? Rose décide de prendre sa vie en main. Le portrait d’une femme aux abois qui se délivre à sa façon de l’emprise d’un mari violent et part retrouver son fils qu’elle n’a plus revu depuis des années.
BO:
Critique:
« Sur le plan esthétique, encore plus que dans Séraphine, Provsot théorise le rapport du corps au cadre. D’abord filmée de dos ou de façon fragmentaire, Rose est présentée au début du film comme un être littéralement brisé. Mais plus l’histoire progresse et plus elle envahit l’image, comme pour montrer son redressement intérieur. Face à elle, Thomas bénéficie d’un cadrage plus fiévreux en rapport avec sa jeunesse et d’entêtants tourments. Ces deux « musiques » visuelles finissent par s’accorder dans un final bouleversant (…). » Premiere