Fin mars 2016, c’est aussi la date choisie par la préfecture pour mettre fin à l’hébergement de certains jeunes isolés étrangers, au prétexte qu’ils ont reçu une obligation de quitter le territoire français. Alors que ces jeunes sont scolarisés, qu’ils ont construit des choses ici et que ces OQTF leur tombent sur la tête de façon arbitraire, parfois au mépris de leurs droits juridiques et toujours de leur droit à vivre dignement.
La guerre administrative qui leur est faite aura aussi pour conséquence qu’ils se retrouvent à la rue, compromettant gravement leur insertion au lieu de la favoriser.
Ces jeunes étrangers doivent pouvoir garder leurs hébergements.
Tout comme les familles défavorisées doivent pouvoir rester dans leurs logements !